Vos témoignages
Qu'est-ce
que les Dogs ont représenté pour vous ?
Envoyez-moi votre témoignage > manu@dogs-rouen.com
Envoyé par Georges Contard le 10 janvier 2021
Vu en concert par hasard à Lillers en 1979 !! La CLAQUE !! Le son que j'attendais d'un groupe Français ! L'élégance de Dominique ! Je regrette de ne pas avoir tenté de lui parler... Après , j'ai suivi le groupe quelques années, et la vie fait qu'à un moment , on a d'autres préoccupations et j'ai décroché !!! On ne peut rattraper les années passées, mais j'écoute aujourd'hui régulièrement les Dogs. Le livre extraordinaire de sa sœur en "bible" ... et reste attentif aux éventuels informations les concernant...
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Envoyé par Guy Sassolas le 17 avril 2019
Ce doit être en 1978. Je m'emmerde à poursuivre des études à Paris.
Mes potes Yves et Bernard me parlent d'un concert des Dogs. Ces mecs sont quasiment aussi bons que les Groovies, ils me disent. Tu devrais venir. Sais plus pourquoi j'ai pas pu.
Les deux même zozos me passent un peu plus tard un 45 tours. Il y a 19, no way et Charlie. Coup de poing là où ça se reçoit. C'est ça le son, le son que j'aime.
M'ont jamais quitté les Dogs. Encore aujourd'hui avec moi. Si c'est pas de la fidélité ça !
"On s'appelle les Dogs et on vient de Rouen."
Guy SASSOLAS.
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Envoyé par Guy Sassolas le 28 avril 2019
Une autre fois ils passent à Saint Etienne.
On devait être six dans la salle, dont quatre étaient venus pour voir leurs potes qui faisaient la première partie.
Restaient ma copine un peu empotée et moi malheureux !
Des fois c'est dur...
G.
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Envoyé par Patrick Sok le 11 août 2017
Sans avoir la plume et la sensibilité de Serge Sciboz, qui a rendu un magnifique hommage à Dominique Laboubée, leader incontesté et incontestable des Dogs de Rouen, je tiens malgré tout à apporter ma petite pierre à l'édifice, afin de souligner l'importance de ce groupe majeur, dans l'histoire du rock 'n' roll français.
Originaire du Havre, j'ai eu l'occasion d'assister à de nombreux concerts des Dogs dans notre belle région de Normandie. Indéniablement, les rouannais, avec Little Bob Story, voisins havrais, tenaient le haut du pavé, par rapport à d'autres groupes injustement surmédiatisés tels Téléphone, Trust, Indochine, et se situaient au sommet de l'échiquier du rock français, parmi les rares groupes qui n'avaient absolument rien à envier aux anglais ou aux américains. Pour moi, les Dogs étaient l'antithèse de Téléphone.
Aujourd'hui, il nous reste de somptueux albums comme "Walking Shadows", "Too Much Class...", "Shout !", pour ne pas oublier, pour se remémorer combien les Dogs étaient précieux, talentueux et incontournables !
Le regretté Dominique Laboubée est pour moi un ange du rock 'n' roll qui s'est brûlé les ailes face au système et à l'industrie du disque. Au même titre qu'un Gene Vincent ou qu'un Vince Taylor. Dominique avait une autre vision du rock et de la musique que ses contemporains. Un authentique esthète agrémenté d'une poésie à fleur de peau. Quelle classe ! Depuis sa disparition aussi prématurée que tragique, le paysage rock français n'est plus tout à fait le même et Rouen pleure son enfant prodige...
Les Dogs sont entrés dans la légende par la grande porte. Outre Dominique Laboubée, j'appréciais beaucoup également et à des périodes différentes, le guitariste extraverti Antoine Masy-Périer (Tony Truant) et le batteur Bruno Lefaivre que je trouve fantastique ! Par contre, petit bémol mais je tenais à le souligner, je n'apprécie guère le comportement de Michel Gross, batteur d'origine, qui semble complètement inaccessible et ne daigne même pas répondre aux fans des Dogs sur Facebook. D'ailleurs, je crois savoir qu'il n'a même pas participé au bouquin de Catherine Laboubée consacré à Dominique et à la fabuleuse épopée du groupe. C'est vraiment regrettable !
Ayant quitté la Normandie pour la banlieue parisienne, j'ai découvert depuis d'autres très bons groupes comme La Souris Déglinguée de Tai-Luc ou encore Ici Paris, les Cramps français... Chez LSD ou Ici Paris, même intégrité et même sincérité que chez les normands. Cependant, rien ni personne ne me fera oublier la magie des Dogs et de Dominique... Absolument rien !
Patrick Sok
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Envoyé par JLB le 20 juin 2016
Lost my mind in 79.... Anna Jane ....
C'est le 2eme LP que j'ai acheté après le 1er CLASH et avant le 1er SAINTS
J'ai toujours trouvé ce classement génial.
Dominique et les autres; le meilleur groupe français assurément. INDISCUTABLE.
Emotion, énergie, puissance, technique, poésie, esthétique fabuleuse.
Dominique tu me manques
Pensées...
Je vais te réécouter, A différent me, et la suite
A different You
Love
JLB
...trop fan des dogs walking shadows est mon disque de chevet il craque mais c encore meilleur comme les grands crus il vieillit bien
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Envoyé par Pascal Burcker le 26 octobre 2014
Salut Manu
J’ai
eu la chance immense d’avoir vu les Dogs dans l’Est au mythique
Pub Rock « Chez Paulette » à Pagney Derrière Barine
il y a…très longtemps. Un set magistral, une claque inouïe
pour moi. Musicien amateur , je me suis payé une Telecaster comme celle
qu’avait Dominique, et je me suis mis à rêver de pouvoir
un jour fouler la scène sur laquelle Dom avait traîné
ses boots… Et voilà que plus de 20 ans après, j’ai
près de 54 piges aujourd’hui, j’ai eu le privilège
de jouer le 11 octobre dernier dans ce fameux pub moi aussi avec ma bande
de vieux potes… Je ne te parle pas de mon émotion quand je suis
entré dans les loges et que j’ai vu ce dessin sur l’un
des murs !
Alors voilà, c’est peut-être peu de chose, mais je voulais
te l’envoyer en PJ car je le trouve magnifique. Je ne sais qui l’a
fait à l’époque, mais c’est en tous cas le plus
beau dessin parmi la multitude de ceux qui couvrent murs et plafonds des loges
de… Chez Paulette.
Pour finir, je te joins l’affiche de notre concert, notre groupe s’appelant
« Los Brelos Orchestra »
Merci à vous de maintenir la flamme de cet immense groupe
Musicalement
Pascal
Note de Manu: Merci à toi Pascal, ce site est celui des fans des Dogs
Et voici quelques videos de Paulette:
les
DOGS chez Paulette (1986) - Merci à Mwarf69,
sa chaîne vaut le détour
Paulette,
la super-mamie du rock (Chez Paulette - Lorraine)
"Paulette"
Bar Rock à PAGNEY derrière BARINE en Lorraine -
On y voit le graph des Dogs à 3:35
Pagney
derrière Barine - Chez Paulette
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Envoyé par Frank Malone le 18 août 2014
Je suis toujours dingue d'eux ! J'ai toujours considéré Dominique
et sa bande comme le meilleur groupe de Rock et ils resteront à jamais
gravés dans ma mémoire!
Tellement de souvenirs de concerts à Tours et ailleurs...
Un soir, on avait eu la chance de fêter l'anniv' de Hugues en fin de
concert. Champagne et frissons garantis !
Une autre fois mon pote a suivi Dominique jusqu'aux chiottes du défunt
'Bateau Ivre' avec le magnéto en poche sans oser l'interviewer pour
notre petite émission Rock...
Et ce concert mémorable au Printemps de Bourges où il a fallu
éteindre le feu mis aux rideaux et évacuer les fumées
avant de reprendre les riffs !
J'ai toujours fait référence à mon groupe préféré
dans tout mes dessins et autres tentatives de BD à l'époque
(voir petit aperçu ci-joint).
J'aurais tellement voulu être son ami et faire le boeuf sur scène...
Mais je n'étais pas vraiment Tony ;)
Brrr ! Quels souvenirs ! et merci pour le site !
Trop de Classe pour le voisinage.
Frank Malone
à Tours
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Envoyé par Bat-Matt le 2 avril 2014
des bons souvenirs ils ont souvent joués en provence entre Avignon
Arles et Orange fin des année 80 des concerts ou les places n'étaient
pas chéres.....je vous remercie j'écoute toujours vos albums.......Batmatt
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Envoyé par ant Sor en mars 2014
J'avais le premier album (+ d'autres ensuite...), avec la photo de Modiano.
Je voulais étre lui. Premier élément d'identification
masculine. L'attitude, l'élégance. Etre Different (c'etait Hugues
avec le badge, je crois...).
Compris ensuite à quel point il était bon. Un des tout meilleurs
guitaristes francais, Le mur du son, des riffs en accord ouvert, pas besoin
de solos(i) interminables.
Pas eu suffisamment
de succès assez tôt, mort trop tôt. Too much class....
The most (un)forgotten french boy ...?
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Envoyé par Hervé Grall le 21 fév 2014
Bonjour,
Il y a peu de temps,nous évoquions avec un ami auteur compositeur interprète,
Johan Asherton, issu de la mouvance rock de Rouen, les moments passés
rue gros Horloge, à "Mélodie massacre"; au cours de
la conversation, il m'apprend que le bassiste des Dogs n'était autre
que mon pote de collège: Hugues Urvoy de Portzamparc!!! Nous étions
alors en classe de 3ème sans doute en 1973 ou 74 et on s'éclatait
à écouter Bowie et T Rex ; les autres potes s'appelaient Guillaume
Bébéar, David legendre, François Navarre.
Vraiment, si vous avez des nouvelles d'Hugues, merci de me faire parvenir
un contact, des nouvelles...!
Bravo et merci pour votre site
Cordialement
Hervé Grall
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Envoyé par Christophe W. le 1er fév 2014
En octobre 2002, lors d'un concert à Lyon (Blues rock festival) ou
Phil DAUGA était venu refaire la fille du pere Noël et TBOB nous
gratifier de ses superbes chansons c'est lui même, Little BOB Himself
qui en dédiant le gig à DOMINIQUE M'A APPRIS SON DÉCÈS
là-bas sur le côte est des USA!
Triste très triste privilège.
J'ai
vu les dogs plein de fois à Lyon, Vaulx en Velin (Calamités
en partie 1 et rappel d'enfer des deux groupes pour Down at Lulu's) et même
Montbrison... je crois.
Toujour cette fièvre classieuse comme disait le grand SERGE.
Et les vinyls, CD et cette serviette que j'ai récupérée
jetée par Dominique dans la salle......
Et les chansons tournent encore toujours sur ma vieille platine akaï....
même si mon Iphone regorge de leurs titres de toutes les époques.....
Souvenir:
au palais d'hiver de Lyon..... j'ai encore le billet... le même reproduit
dans le très bel album de Catherine L, en 1984... on attend dans la
salle et passe devant nous longiligne Dominique avec sa veste à Frange...
impérial.
Un an plus tard dans le club du West Side... il est sur une estrade.... à
1m de nous royal....
Mon premier vinyl des Dogs: le maxi acheté en 1982 chez New Rose à
Paris.... puis le TOO MUCH CLASS..... quelques jours après....j'avais
des K7 repiquées avant pour assouvir ma passion pour ce groupe.....
depuis tous sont dans ma discothèque...... et les derniers ont été
enregistrés non loin de chez moi, à Tarare....
Merci pour tout
Merci pour le docu "nos années électriques" merci
pour le bel album
Merci Tony pour ta verve, Hugues pour ta sensibilité qui s'exprime
tout au long du documentaire pré-cité...merci MIMI pour ton
ROCK massif... et merci à tous les autres d'avoir accompagné
DOMINIQUE... notre plus grand Rocker (Désolé Little Bob.....
toi tu es le dernier encore en service...... alors KEEP ON ROCKIN'!!!!!)
Christophe W.
Lyon
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Envoyé par Serge Sciboz le 10 nov 2013
Les Dogs représentent pour moi beaucoup de souvenirs musicaux, mais
leur rock ‘n’ roll à la fois sauvage et sophistiqué,
brutal et élégant, bestial et raffiné, allait bien au-delà
d’une simple relation musicale entre un groupe et un aficionado béat
d’admiration. Dominique Laboubée et son gang de Rouen étaient
une véritable institution, une œuvre d’art à eux
seuls, le feeling et la classe à l’état pur. Au milieu
des 70’s, le rock était pour les Dogs un art de vivre au quotidien
et contrastait avec le manque évident de culture musicale qui gangrénait
les teenagers français, un peu comme si un poème de Beaudelaire,
un cliché de Doisneau, une toile de Richard Hamilton, une sonate de
Vivaldi ou une œuvre pop avant-gardiste d’Andy Warhol se seraient
égarés entre Mont-Saint-Aignan et les quais de la Seine venteux
et vivifiants de Rouen. Indubitablement, ils avaient quelque chose en plus,
un petit je ne sais quoi qui fera la différence tout au long de leur
impressionnante carrière et les portera au Panthéon des groupes
de french-rock. Personnellement, j’ai toujours fait le parallèle
entre leur singularité et leurs ainés les Chats Sauvages avec
Dick Rivers, qui dans les sixties, en bons pionniers rock ‘n’
twist, avaient le même état d’esprit que les rouennais
: Une certaine idée du rock ‘n’ roll et de la musique en
générale. L’envie irrésistible de sortir des sentiers
battus et du consensus ambiant. Le précieux leitmotiv d’aller
au-delà de l’histoire déjà écrite pour certains
et de bousculer les choses, au risque de passer pour des incompris ou pour
un groupe hautain et sulfureux. Rappelez-vous de leurs passages épiques
au Golf Drouot. Avant les Dogs, les Chats niçois avaient connu les
mêmes déboires avec monsieur Henri Leproux. Le rock joué
avec trop de classe et trop de différences par rapport à ses
contemporains, n’est jamais très apprécié par l’establishment
et autres pouvoirs établis… Certaines personnes, béotiennes
mais influentes, peuvent faire et défaire la carrière d’un
groupe qui ne rentre pas dans un certain formatage comportemental, à
leur guise. La fureur de vivre et la rage de vaincre, tout en cultivant sa
différence sont persona non grata dans la culture française.
C’est injuste, immoral, mais c’est la dure réalité
de l’infâme milieu du showbiz. Rivers quant à lui le paiera
cash durant cinquante ans ! Et les Dogs seront parfois occultés par
les grands médias au profit de rockeurs de pacotille et autres musiciens
acnéiques et ennuyeux… Lire
la suite
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Envoyé par Gérard Guyot le 18 oct 2013
J'ai vu les Dogs plusieurs fois. A 3, 4, 5 musiciens. J'étais à
Chapdeuil le fameux concert dont la légende dit que les Dogs ont failli
se séparer ce soir-là!!
Super concert!!! Puis quelques années plus tard j'ai fait venir jouer
les Dogs à Orthez! C'était le 23 février 2002!
Je ne savais pas que Dominique nous quitterait quelques mois plus tard!
Il me reste les souvenirs! Et la musique!!!
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Envoyé par Pierre le 12 oct 2013
Hi,
Thank you very much for sharing all your great Dogs stuff! I've seen the Dogs
performing live four times in Northern Germany in 1985 and was quite friendly
with the boys and Marc Zermati then. Dominique later sent me the "Go
Where You Want To Go" EP (with this postcard) as a gift. I will never
forget him - what a great loss! We organized two gigs in a country pub - The
Pluntschli - near my hometown Flensburg and recorded the first of them. I
just recently unearthed the C90 tape. I digitized it in a hurry with a 20
Euro tape player, but will redo it with better equipment soon. What a gig!!
And I can hear old me yelling to the Dogs almost 30 years later.
Cheers!
Pierre
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Envoyé par D'jal le 24 sept 2013
J’ai découvert l’existence des DOGS vers 17 ans, en …1978,
je pense, probablement à la lecture de Rock’n’Folk, qui
est devenu ma bible à ce moment-là, pour plusieurs années
(avec Métal Hurlant); ce n’est pas à la radio, la télé,
dans la presse "classique"… que l’on risquait d’entendre
parler des Dogs, des CLASH, de Thunders, etc…
J’ai acheté "Walking Shadows" dès sa sortie
(avec le 45t bonus); "Different" et "Go where you want to go",
ce fut pour un peu + tard ; par la suite, je n’ai raté aucune
sortie, à part ‘’Shout !’’ que je n’avais
qu’en K7 repiquée à un pote, problème financier
au moment de la sortie je suppose – je viens de le racheter sur internet
(EN VINYLE BIEN SUR)
J’ai malencontreusement (pas là) raté le concert de la
tournée Walking Shadows à Dijon, où je poursuivais de
vagues études; je connaissais de vue le jeune Antoine Masy-Périer
avant qu’il ne quitte la ville pour le destin que l’on sait…
J’ai
vu les Dogs pour la 1ère fois à Dijon (Marsannay la Côte),
le 30/09/1982 (Dominique, dans mon souvenir: "Je vous présente
pas Antoine, notre nouveau guitariste") concert de fou évidemment,
je me rappelle plus bien l’after, je crois que j’y étais...
hum
La
semaine suivante, par hasard en séjour à Epinal-dans-les-Vosges
, je vois une affiche: concert des Dogs le 05/10/1982: je m’y suis bien
sûr précipité (Dominique, dans mon souvenir: "Je
vous présente Antoine, notre nouveau guitariste")
Tête des vosgiens… on aurait dit que c’était la 1ère
fois qu’ils voyaient une guitare électrique… choc…
tête de Hugues, les toisant du haut de la scène d’un air
dubitatif… apparemment, selon Catherine Laboubée, dans son livre Too much class, le concert a été filmé par l’organisateur
(Jean-Pierre Poinsignon) je donnerais cher pour voir çà ! Si
quelqu’un a un tuyau ?
J’ai demandé à Catherine, elle se renseigne…
Je
les ai revus une 3ème fois à Dijon (Longvic) 01/03/1984, trop
fort bien sûr, Antoine Tatane, avec sa fâcheuse habitude de sauter
dans le public m’est tombé dessus direct et m’a pété
mes lunettes (bon je lui en ai jamais voulu)
Par la suite, je n’ai jamais perdu de vue la suite des événements,
avec une traversée du désert dans les f*** années 1990,
le rock était moribond, mais ces gars-là n’ont jamais
baissé les bras…
Début des années 2000, c’était reparti, moi avec,
et c’est un soir de 2002, à un concert de Little bob, pas loin
de chez moi, que Roberto a dédié une des chansons du 2ème
rappel à "Dominique Laboubée, décédé
la semaine dernière… il était pas bien vieux"…
le choc… j’étais pas au courant…
J’ai mis un moment à m’en remettre, et quelques mois après
c’était Joe Strummer… sale année, vraiment
Mais rock’n’roll will never die bien sûr !
Amitiés à tous
D’jal